L'Union européenne et l'Arménie vont signer une convention répondant aux demandes réciproques
14-02-2017 14:23:10 | Arménie | social
«L'Union européenne et l'Arménie vont prochainement signer une convention répondant aux demandes réciproques», a annoncé Jean-François Charpentier, l'ambassadeur de France en Arménie, lors de la rencontre du 14 février avec les journalistes.
Comme il a dit, il y a encore des points contradictoires qui sont dans l'étape de négociations.
D'après l'ambassadeur, la question des toponymes géographiques n'est encore résolue qui concerne surtout l'extension du cognac et du champagne arménien au marché européen.
«Certainement c'est une question très délicate pour la France et l'Arménie, car elle a une signification importante économique, et particulièrement en France le tournant annuel du cognac fait 3 milliard d'euros, qui est une chiffre solide et il ne faut pas l'ignorer», a dit Jean-François Charpentier soulignant que la France a une position fondamentale sur la conservation de ses marques qui à l'exception de l'alcool, s'étend sur d'autres produits.
Selon l'ambassadeur, la rencontre des experts Français et Arméniens sur cette question a eu lieu la semaine passée à Paris qu'une autre rencontre va précéder cette fois-ci au niveau de l'Union européenne. Il espère qu'à la suite de ces négociations les partis pourront parvenir à une compréhension commune.
L'ambassadeur de France en Arménie a aussi remarqué qu'il suit très attentivement à la politique du développement économique du gouvernement de l'Arménie car le parti français manifeste une grande activité dans le domaine économique.
«Je dois noter qu'en 2016 la France a donné en Arménie 20 million de dollars comme allocation, c'est-à-dire cette dernière a été augmentée 5 fois et actuellement la France est le troisième pays soutenant l'Arménie après l'Allemagne et les Etats-Unis», a remarqué Jean-François Charpentier.
Parlant de la question de résolution de la lutte du Haut-Karabakh, il a souligné que les coprésidents du groupe de Minsk de l’OSCE ne ménagent aucun effort pour créer de nouveau des bases de dialogues dans le procès de négociations sur la lutte d'Artsakh, car il n'a d'autres solutions que le réglement pacifique.
Pourtant, comme il a dit, le dénouement de la lutte d'Artsakh n' est pas dans les mains des coprésidents du groupe de Minsk de l'OSCE, mais il dépend de la volonté politique des partis en lutte.
D'après ses paroles, les pertes humaines enregistrées périodiquement à cause de la contravention du régime de cessez-le-feu sont inadmissibles pour les partis en lutte, donc la situation actuelle ne peut plus être continuée.
Selon Jean-François Charpentier, la France est prête à accueillir venu les deux partis en lutte et soutenir le procès du réglement pacifique de la lutte.